Arya & Sandrine

Sandrine VESPA

Passionnée par la relation Humaine/Chien de famille

Je ne vais pas vous raconter que je vis avec des chiens depuis mon enfance car ce serait un mensonge. J’ose même vous raconter qu’enfant, j’avais peur des chiens, par totale méconnaissance. Et pourtant, ces animaux me fascinaient.

Comme beaucoup d’enfants, je demandais à mes parents d’en adopter un. C’était assez paradoxal. Mes parents, issus du milieu agricole, ne voyaient pas la place d’un chien dans un appartement en pleine ville, ils ont alors toujours refusé. Ils ont fini par céder pour un chat, à mes 13 ans. Quelques années plus tard, nous avons eu une portée avec la femelle de ma grande sœur et mon chat. Trois chatons sont nés chez nous, que nous avons gardé. Nous vivions alors avec 5 chats. J’ai pu tellement observer !

De la conception, à la naissance et au développement des chatons. J’ai adoré cette expérience ! Je voulais alors devenir vétérinaire. Mon niveau scolaire ne m’a pas permis d’intégrer une école, je me suis tournée alors vers une autre voie qui m’était facile : la chimie.

Concernant la peur des chiens, c’était devenu une vraie phobie. Je me rappelle d’une période, j’avais alors entre 6 et 10 ans, où, dès que je voyais un chien, je me mettais à hurler et à me cacher derrière mes parents. En grandissant, cela s’est estompé de lui-même. Elle a totalement disparu lorsque j’ai rencontré Brahms, la berger allemand de ma grande sœur (la même que pour les chatons). Cette chienne, je l’ai vu la première fois, elle devait avoir quelques semaines, elle est rentrée dans la vie de ma sœur un ou deux mois après. Je l’ai vu grandir, je l’ai vu apprendre. Nous avons tissé un lien qui nous unit, juste parce que grâce à elle, je n’avais plus du tout peur des chiens. Aujourd’hui, c’est toujours un véritable plaisir de nous voir, pour l’une comme pour l’autre.

Quelques années plus tard, en 2015, avec mon conjoint, nous avons décidé d’adopter un chien, en SPA. C’est ainsi qu’Arya est rentrée dans notre vie. Arya est une chienne dite « créole », c’est-à-dire qu’elle vient des Iles, plus exactement de Guadeloupe. Elle devait avoir à peine un an. C’était une chienne très peureuse : les premiers temps, lorsqu’on la regardait ou qu’on lui parlait, elle s’urinait dessus. Nous devions forcément être doux avec elle et surtout gagner sa confiance. Nous avons été patients et cela nous a bien aidé tous les trois.

Avant que je m’intéresse au comportement canin, Arya était considérée par la société comme une chienne réactive congénère. Elle avait le grognement et l’aboiement faciles. Cela a empiré après un bref passage dans un club canin.

Aujourd’hui, Arya a ses besoins comblés, notamment ses besoins sociaux et surtout, je la comprends mieux. Elle m’accompagne régulièrement en rendez-vous, et m’aide à comprendre les chiens que je rencontre.

Elle est une incroyable binôme, une remarquable alliée. Elle s’épanouit dans ce rôle et me montre encore de nouveaux potentiels insoupçonnables, tout simplement car je lui accorde toute ma confiance, et la laisse s’exprimer et communiquer. 

Ce que je suis et ce que je fais aujourd’hui serait impossible sans elle. Je ne saurai jamais la remercier suffisamment pour tout ce qu’elle fait pour moi et pour tous les binômes que nous accompagnons.

Arya

La spécialiste de la Com’

Baloo

Un an après l’arrivée d’Arya, nous avons adopté un 2e chien. Nous culpabilisons qu’Arya reste seule, bien qu’aujourd’hui, nous savons que c’était une mauvaise raison.

Baloo est arrivé, malinois âgé alors d’à peine 6 mois, retiré de son ancienne famille pour maltraitance. Ce chien était alors une bombe à retardement, des émotions très fortes, mal dans ses pattes, aucune familiarisation, aucune socialisation, aucune gestion de ses émotions. Nous en avons vu de toutes les couleurs avec lui, comme on dit. Nous avions fait de mauvais choix quant à son éducation : nous avons été en club canin, qui n’était pas adapté aux problématiques que nous rencontrions. Nous ne le comprenions pas. C’est là que nous avons décidé de nous faire aider par une comportementaliste. C’est là que j’ai découvert le métier. 

Baloo est, comme on dit dans le milieu du chien, un « malinois de travail ». « On » nous a dit « il doit travailler », alors peu de temps après son adoption, nous l’avons mis au travail : obéissance, mantrailing, interactions canines. Il n’y prenait aucun plaisir. Nous avons décidé de le laisser simplement être un Chien. À partir du moment où nous avons arrêté de lui mettre la pression, où nous avons revu nos attentes et exigences, il a commencé à mieux gérer ses émotions, à être à notre écoute. Aujourd’hui, il est un chien apaisé qui fait beaucoup d’efforts à s’intégrer dans notre société et notre vie, c’est tout ce que nous lui demandons.

C’est pour ces raisons, qu’il ne m’accompagne pas en rendez-vous. 

Mon cheminement quant à une reconversion professionnelle commence alors. Très vite, c’est devenu une évidence. Mon attirance vers le monde animal depuis toute petite s’explique enfin !
Je me suis énormément renseignée sur les différentes formations, sur les différentes approches du chien, sur ce que j’avais envie d’apprendre et ce que je ne voulais pas. 

Fin 2019, je rentre enfin en formation !

Et en janvier 2021, Humanimal Education naît. 

Humanimal est la contraction entre Humain et Animal, signifiant « qui a trait aux humains et aux animaux ». Par l’utilisation du nom « Humanimal Education », je souhaitais montrer que mon accompagnement est autant sur l’Animal que sur l’Humain qui vit avec. Ce n’est pas moi qui éduque votre chien, mais bien vous, humain référent. Je vous apporte toutes les compétences et les connaissances pour pouvoir le faire, toutes les cartes pour pouvoir le comprendre et communiquer convenablement avec lui.

Mon but est d’une part que vous construisez une relation harmonieuse avec lui, en vous accompagnant pour comprendre votre chien, en vous emmenant sur le chemin d’une véritable rencontre, en donnant envie à votre chien de coopérer (et non obéir) et d’autre part, de vous rendre autonome sur son éducation en vous posant les bonnes questions en cas de besoin ou de changement de comportement.
Parce que tous « problèmes de comportement » ont pour origine un manque de compréhension et des besoins non comblés de son chien.

“Partez à la découverte de votre chien, et révélez le potentiel de votre relation”.

Sandrine VESPA

Sandrine VESPA

Passionnée par la relation Humaine/Chien de famille

Je ne vais pas vous raconter que je vis avec des chiens depuis mon enfance car ce serait un mensonge. J’ose même vous raconter qu’enfant, j’avais peur des chiens, par totale méconnaissance. Et pourtant, ces animaux me fascinaient.

Comme beaucoup d’enfants, je demandais à mes parents d’en adopter un. C’était assez paradoxal. Mes parents, issus du milieu agricole, ne voyaient pas la place d’un chien dans un appartement en pleine ville, ils ont alors toujours refusé. Ils ont fini par céder pour un chat, à mes 13 ans. Quelques années plus tard, nous avons eu une portée avec la femelle de ma grande sœur et mon chat. Trois chatons sont nés chez nous, que nous avons gardé. Nous vivions alors avec 5 chats. J’ai pu tellement observer !

De la conception, à la naissance et au développement des chatons. J’ai adoré cette expérience ! Je voulais alors devenir vétérinaire. Mon niveau scolaire ne m’a pas permis d’intégrer une école, je me suis tournée alors vers une autre voie qui m’était facile : la chimie.

Concernant la peur des chiens, c’était devenu une vraie phobie. Je me rappelle d’une période, j’avais alors entre 6 et 10 ans, où, dès que je voyais un chien, je me mettais à hurler et à me cacher derrière mes parents. En grandissant, cela s’est estompé de lui-même. Elle a totalement disparu lorsque j’ai rencontré Brahms, la berger allemand de ma grande sœur (la même que pour les chatons). Cette chienne, je l’ai vu la première fois, elle devait avoir quelques semaines, elle est rentrée dans la vie de ma sœur un ou deux mois après. Je l’ai vu grandir, je l’ai vu apprendre. Nous avons tissé un lien qui nous unit, juste parce que grâce à elle, je n’avais plus du tout peur des chiens. Aujourd’hui, c’est toujours un véritable plaisir de nous voir, pour l’une comme pour l’autre.

Arya

La spécialiste de la Com’

Quelques années plus tard, en 2015, avec mon conjoint, nous avons décidé d’adopter un chien, en SPA. C’est ainsi qu’Arya est rentrée dans notre vie. Arya est une chienne dite « créole », c’est-à-dire qu’elle vient des Iles, plus exactement de Guadeloupe. Elle devait avoir à peine un an. C’était une chienne très peureuse : les premiers temps, lorsqu’on la regardait ou qu’on lui parlait, elle s’urinait dessus. Nous devions forcément être doux avec elle et surtout gagner sa confiance. Nous avons été patients et cela nous a bien aidé tous les trois.

Avant que je m’intéresse au comportement canin, Arya était considérée par la société comme une chienne réactive congénère. Elle avait le grognement et l’aboiement faciles. Cela a empiré après un bref passage dans un club canin.

Aujourd’hui, Arya a ses besoins comblés, notamment ses besoins sociaux et surtout, je la comprends mieux. Elle m’accompagne régulièrement en rendez-vous, et m’aide à comprendre les chiens que je rencontre.

Elle est une incroyable binôme, une remarquable alliée. Elle s’épanouit dans ce rôle et me montre encore de nouveaux potentiels insoupçonnables, tout simplement car je lui accorde toute ma confiance, et la laisse s’exprimer et communiquer. 

Ce que je suis et ce que je fais aujourd’hui serait impossible sans elle. Je ne saurai jamais la remercier suffisamment pour tout ce qu’elle fait pour moi et pour tous les binômes que nous accompagnons.

Baloo

Un an après l’arrivée d’Arya, nous avons adopté un 2e chien. Nous culpabilisons qu’Arya reste seule, bien qu’aujourd’hui, nous savons que c’était une mauvaise raison.

Baloo est arrivé, malinois âgé alors d’à peine 6 mois, retiré de son ancienne famille pour maltraitance. Ce chien était alors une bombe à retardement, des émotions très fortes, mal dans ses pattes, aucune familiarisation, aucune socialisation, aucune gestion de ses émotions. Nous en avons vu de toutes les couleurs avec lui, comme on dit. Nous avions fait de mauvais choix quant à son éducation : nous avons été en club canin, qui n’était pas adapté aux problématiques que nous rencontrions. Nous ne le comprenions pas. C’est là que nous avons décidé de nous faire aider par une comportementaliste. C’est là que j’ai découvert le métier. 

Baloo est, comme on dit dans le milieu du chien, un « malinois de travail ». « On » nous a dit « il doit travailler », alors peu de temps après son adoption, nous l’avons mis au travail : obéissance, mantrailing, interactions canines. Il n’y prenait aucun plaisir. Nous avons décidé de le laisser simplement être un Chien. À partir du moment où nous avons arrêté de lui mettre la pression, où nous avons revu nos attentes et exigences, il a commencé à mieux gérer ses émotions, à être à notre écoute. Aujourd’hui, il est un chien apaisé qui fait beaucoup d’efforts à s’intégrer dans notre société et notre vie, c’est tout ce que nous lui demandons.

C’est pour ces raisons, qu’il ne m’accompagne pas en rendez-vous. 

Mon cheminement quant à une reconversion professionnelle commence alors. Très vite, c’est devenu une évidence. Mon attirance vers le monde animal depuis toute petite s’explique enfin !
Je me suis énormément renseignée sur les différentes formations, sur les différentes approches du chien, sur ce que j’avais envie d’apprendre et ce que je ne voulais pas. 

Fin 2019, je rentre enfin en formation !

Et en janvier 2021, Humanimal Education naît. 

Humanimal est la contraction entre Humain et Animal, signifiant « qui a trait aux humains et aux animaux ». Par l’utilisation du nom « Humanimal Education », je souhaitais montrer que mon accompagnement est autant sur l’Animal que sur l’Humain qui vit avec. Ce n’est pas moi qui éduque votre chien, mais bien vous, humain référent. Je vous apporte toutes les compétences et les connaissances pour pouvoir le faire, toutes les cartes pour pouvoir le comprendre et communiquer convenablement avec lui.

Mon but est d’une part que vous construisez une relation harmonieuse avec lui, en vous accompagnant pour comprendre votre chien, en vous emmenant sur le chemin d’une véritable rencontre, en donnant envie à votre chien de coopérer (et non obéir) et d’autre part, de vous rendre autonome sur son éducation en vous posant les bonnes questions en cas de besoin ou de changement de comportement.
Parce que tous « problèmes de comportement » ont pour origine un manque de compréhension et des besoins non comblés de son chien.

“Partez à la découverte de votre chien, et révélez le potentiel de votre relation”.

Sandrine VESPA